Dans l’épisode 1866 de “Demain nous appartient”, diffusé le 27 janvier 2025, l’enquête sur l’agresseur du Zodiaque prend une tournure dramatique. Après une série d’attaques ciblant des habitants de Sète en fonction de leurs signes astrologiques, la police est sur les nerfs. Les victimes précédentes, Violette (Poissons), François (Scorpion) et Octave (Lion), ont toutes été agressées selon des modes opératoires liés à leurs signes du zodiaque.
Alors que l’équipe du commissariat est mobilisée pour identifier le coupable, une nouvelle menace plane. Aurore Jacob (interprétée par Julie Debazac), l’une des policières les plus investies dans l’enquête, est soudainement attaquée en plein commissariat. Une flèche la blesse grièvement au thorax, la laissant entre la vie et la mort. Cette agression audacieuse au sein même des locaux de la police sème la panique et soulève des questions sur la sécurité des forces de l’ordre.
Les premiers éléments de l’enquête révèlent que l’assaillant a réussi à pénétrer le commissariat sans être détecté, suggérant une connaissance approfondie des lieux ou une complicité interne. Les soupçons se multiplient, et la tension est à son comble parmi les policiers, chacun se demandant si l’agresseur du Zodiaque n’est pas plus proche qu’ils ne le pensent.
Parallèlement, l’état de santé d’Aurore est critique. Transportée d’urgence à l’hôpital, elle est placée en soins intensifs. Ses collègues, choqués et déterminés, redoublent d’efforts pour retrouver le coupable avant qu’il ne frappe à nouveau. Cette attaque personnelle renforce leur détermination, mais aussi leur vulnérabilité.
Les téléspectateurs sont tenus en haleine : Aurore survivra-t-elle à cette attaque ? L’agresseur du Zodiaque est-il un membre des forces de l’ordre ou bénéficie-t-il d’une complicité interne ? Les prochains épisodes promettent des révélations chocs et des retournements de situation inattendus.
Ne manquez pas la suite de “Demain nous appartient” pour découvrir l’évolution de cette enquête palpitante et le sort réservé à Aurore.
