La comédienne d’Ici tout commence, Catherine Davydzenka, a fait des confidences touchantes sur son enfance dans le podcast Dhombres et de lumières.
EN BREF
- Depuis 2020, Catherine Davydzenka joue le rôle d’Hortense Rochemont dans la série ‘Demain nous appartient’ sur TF1.
- Dans un podcast, elle a partagé des souvenirs de son enfance marquée par des remarques de professeurs sur son apparence.
- Découvrez comment Catherine Davydzenka a surmonté ces défis pour embrasser sa liberté d’être et de penser.
Depuis 2020, Catherine Davydzenka incarne le personnage d’Hortense Rochemont, l’un des personnages les plus attachants de Demain nous appartient. Quatre ans après, celle qui a tissé un lien très particulier avec le public. Elle apprécie toujours autant de jouer dans la quotidienne de TF1 et ce pour le plus grand plaisir des téléspectateurs.
Invitée du podcast Dhombres et de lumières, Catherine Davydzenka, a accepté de faire des confidences sur son métier d’actrice mais aussi sur son enfance. La comédienne a vécu des moments compliqués et très marquants durant sa jeunesse avec notamment les remarques de professeurs.
“J’ai eu droit à des convocations de profs”
Au cours de son enfance, elle a dû affronter de nombreux malentendus : “Je n’ai jamais eu conscience de mon potentiel de séduction, même aujourd’hui. Ce qui m’a valu beaucoup de problèmes, car, apparemment les autres en ont eu conscience pour moi. Même à l’école, avec mes professeurs, ça se passait très mal“, a-t-elle confié.
Les professeurs ont alors réclamé qu’elle s’habille autrement : “À 12 ou 13 ans, j’ai eu droit à des convocations de profs qui me disaient qu’il fallait que je m’habille autrement, que je n’avais pas le droit de porter des jupes, ni des débardeurs, que ça excitait les garçons et qu’ils étaient déconcentrés par ma présence. Et moi je ne comprenais pas pourquoi, car je ne connaissais même pas la notion de désir à l’époque !”, a-t-elle précisé.
Les confidences de Catherine Davydzenka
En grandissant, Catherine Davydzenka a appris à gérer les commentaires en privilégiant sa liberté d’être et de penser : “La plupart du temps, je m’en fiche. Sauf lorsque cela génère des injustices toujours aussi incompréhensibles à mes yeux. Pour moi, la notion de beauté est subjective”, a-t-elle poursuivi.
Elle reconnait toutefois que le regard des autres peut être pesant : “Mais, parfois, la vision des autres est dure à porter, surtout quand on n’a pas la même qu’eux ! J’ai eu beaucoup de difficultés, plus jeune, à me détacher de l’image que l’on voulait me coller à la peau, cette espèce de figure de la féminité qui ne me correspondait pas du tout. Mais c’était il y a longtemps !”, a-t-elle conclu. Des confidences touchantes !