Demain nous appartient : rien ne va plus chez les Vallorta
Ça c’est pour la présentation générale. Et depuis ? Ah ben, depuis c’est la débandade dans cette famille. Elisabeth a été assassinée par un serial killer, Eddy a été interné en HP, s’en est échappé puis s’est livré à la police. Il croupit désormais en prison sans que personne ne s’en émeuve. Grégory, le fils illégitime, s’est exilé en Chine pour y jouer les businessmen. Quant à Léonard, il s’est tout bonnement volatilisé. La dernière fois qu’on l’a vu, il reconnaissait avoir falsifié des bulletins de vote pour accéder au siège de maire. On ignore s’il a été rattrapé par la justice, ce qu’il est advenu du domaine, s’il vit toujours à Sète…
On suppose qu’il n’est pas mort puisque Bart n’a pas touché un centime de l’héritage familial. La vraie question concernant ce jeune homme c’est comment il a fait pour ne pas s’écrouler avec tous les drames qui ont jalonné sa vie ? Il aurait pu compter sur sa mère mais non ! Celle qui l’a élevé, végète dans une chambre capitonnée, et celle qui l’a mis au monde, s’est installée en Tunisie après sa rupture avec Karim. Ça valait bien la peine d’avoir deux mamans si aucune ne gère ! Pas moyen non plus de compter sur son épouse puisqu’elle est morte empoisonnée le jour de leurs noces…
Bart va-t-il retrouver l’amour ?
En vrai, ça fait beaucoup là non ? On a récemment espéré une accalmie. Bart aurait pu renouer avec l’amour quand Rachel est entrée dans sa vie. Las. Le récent viol dont la jeune femme a été victime ne la prédisposait pas à vivre, là, tout de suite, une romance. Il a donc fallu lui dire au revoir et bon vent sur les îles où elle est allée se reconstruire.
Au lieu de mettre des paillettes toutes fraiches dans la vie de Bart, il a été décidé qu’on allait plutôt chercher à l’empoisonner. A présent qu’il est tiré d’affaire, Bruno, Sylvain et Mona entrent dans la danse. Dans les prochaines semaines, ils vont unir leurs forces pour le caser avec Valentine. Espérons que ce projet capote et qu’on nous fasse revenir Rachel parce que ce couple-là, il nous faisait rêver. Enfin.